Confessions

 

Quelques mois se sont écoulés aprés que j'ai pu prendre la pilule !
Maman m'a tout de même recommandé d'être prudente si je désirais découvrir les jeux du sexe, me précisant qu'elle comptait sur ma sagesse et mon éducation pour ne pas faire de bêtises... si ma mère avait su ce que je vivais déjà !!
Moi je voulais simplement me protéger si des gars voulaient un jour me posséder sans prudence, en perdant leur sang-froid !
J'allais régulièrement au stade avec les uns ou les autres...le cercle s'agrandissait réellement sans que je m'en rende vraiment compte. Mais quand je faisais un peu le point en moi même je devais me rendre à l'évidence...ce sont plusieurs dizaines de gars,de tous les horizons, qui jouaient avec mon corps, ma bouche et mon anus servant à tous de façon trés "naturelle". j'étais persuadée que celà était normal !
Le gardien du complexe sportif me confortait dans ce sens. Je devais  toujours passer par sa loge avant de quitter le stade pour recevoir "ma récompense" comme il disait en crachant son sperme dans ma bouche. Aprés quoi je lui présentais mes fesses pour qu'il m'encule ( comme il disait). Il y avait toujours une petite remarque sur l'état mon "trou à bites". Je ne sais pas si je rougissais mais j'étais régulièrement troublée par ses mots.
Je me sentais sous sa coupe, sous son emprise, et pourtant je ne pouvais pas dire que je l'aimais, il me tenait ! et j'y allais chaque fois...
J'arrivais à mes 14 ans déjà, mes études marchaient bien, j'étais bonne élève à la satisfaction de mes parents. Eux ne voyaient rien de ce que je vivais...maman quelques fois me trouvait une petite mine ! si elle avait su !
Un jour, je me trouvais chez le gardien, il s'occupait de moi comme d'habitude, je le suçais, lui était allongé par terre , moi penchée sur lui à genoux fesses nues sans jupe. On a frappé à la porte et il a dit "entrez" la porte s'est ouverte et le visiteur a pu profiter du spectacle.Pierre , le gardien, lui dit" juste deux minutes je lui donne sa récompense ! et au bout d'une minute il se vidait dans ma bouche en me tenant fermement la tête comme toujours...et il dit à son visiteur, tu as vu son cul ? il en a déjà pris pour être dans cet état ! tu ne trouves pas ? L'autre a répondu " oui c'est sur qu'il a reçu, elle a quel age cette nana ?"
L'entendant parlé, j'ai cru reconnaître sa voix, je me retourne pour le voir ...et là j'ai crié VOUS !,ce n'était autre qu'un ami de mes parents qui logeait à la maison depuis 8 jours, de retour d'un long voyage. Il était aussi surpris que moi et me dit " tes parents savent que tu es une petite salope ? Je te cotoye depuis 8 jours et je n'ai rien décelé de ta nature !
Tout en parlant il caressait mes fesses, mes seins, mon "trou" comme il disait. Je pense que tout le monde peut ? Tes  parents sont au courant ? j'ai bien sur dit que non...et je l'ai supplié de ne rien leur dire de sa découverte !
Il m'a rassurée en me disant qu'il n'était pas un gougeat, mais en me disant cela il sortait son sexe pour le présenter à ma bouche, en ajoutant " tu m'as mis dans un état ! il faut me soulager, tu es d'accord Pierre? "
je n'ai pas entendu la réponse tant j'étais impressionnée par les dimensions du sexe qu'il me présentait. Il était aux proportions de l'homme ( presque 2métres et 120 ou 130 kgs).
il m'a mis son sexe contre ma bouche, j'ai ouvert les lèvres mais je ne pouvais pas le recevoir , je pouvais juste sucer et lécher le gland, il ne pouvait pas rentrer dans ma bouche. Alors il m'a dit " ce n'est pas grave, tu vas me branler et je me viderai dans dans petite gueule de cochonne" J'ai fait ce qu'il me disait, et il ajoutait des commentaires, "quand je pense que ça fait huit jours qu'elle est a côté de moi et que j'ai manqué tout ça ! je pense que la fin de mon séjour va être une merveille !!" et il a craché une première giclée en criant fort son plaisir, je n'avais jamais connu une telle quantité de sperme, il n'arrétait pas,5,6, 7 rasades , je ne pouvais pas tout avaler tant il y en avait.Son ami Pierre l'a complimenté en lui disant: " j'ai bien fait de te dire de passer ? " par contre c'est une gamine et tu vas la démolir si tu essayes de l'enculer !"
Là Marc, c'est le prénom de ce bel homme, lui répond " je ne vais pas le faire maintenant, les conditions seront meilleures chez elle quand ses parents seront au boulot ...tu es d'accord ma petite Simone ? " je ne savais quoi répondre ! je me voyais mal partie pour échapper à ce "monstre" .
je me suis rhabillée pour rentrer à la maison. Je les ai laissés seuls,j'avais les jambes en coton, la situation me troublait par le fait que c'était un ami de la famille et par sa morphologie qui me faisait peur au delà du fait que c'était un trés bel homme, de 45 ans en plus ! tout se choquait dans ma tête.
Le soir au diner l'ambiance était lourde ! il me regardait beaucoup et souriait comme pour me dire  " à bientôt " et le plus terrible c'est que j'avais envie de me retrouver seule avec lui et avec la peur ! J'étais fascinée par cet homme qui aurait pu être mon père ! et je savais qu'il allait me posséder sans beaucoup de ménagement.
Avant de reprendre je voudrais répondre à ce commentaire:

 

 

  • il y a une chose que je me demande : tes propriétaires avaient l'air de t'utiliser tous les jours et pendant un certain temps (et ils étaient déjà nombreux apparemment). Aujourd'hui tu peux t'y consacrer pleinement et sans te cacher mais à l'époque, entre tes parents et l'école, où trouvais-tu le temps de faire ce à quoi tu sers ? Aussi, tes frères continuaient-ils à t'utilser et t'ont-ils enculée comme il se doit ?
    Laissé par : Abe il y a 3 jours à 20h56
    Très belle photo au passage, elle te représente très bien (vide-couilles et fière de l'être) <3

Non, rassurez vous je n'étais pas "utilisée" tous les jours.Dans mes récits je ne parle que des moments importants, laissant de côté la routine des études, des occuppations familiales. Par contre pourquoi parlez vous de " propriétaires" ? 
Si j'en ai aujourd'hui... à l'époque ce n'était pas le cas, il s'agissait seulement  des copains de mes frères, et en toute logique... des copains...des copains...des copains  !!
Mes parents étant commerçants, ils tenaient un magasin d'articles de sports, ils étaient trés occupés, ce qui me laissait beaucoup de liberté. Mais j'étudiais trés sérieusement et j'étais dans les 3 premiers de ma classe.
Je dois avouer que mes frères ont dûs être gênés par la situation et ils ont laissé leurs copains s'occuper de moi et ils n'ont su que plus tard que j'étais régulièrement sodomisée. Ils se faisaient bien sucer de temps en temps mais ils m'ont surtout mis le pied à l'étrier et leurs copains ont été efficaces !!

J'avoue que j'ai passé une mauvaise nuit ! J'avais cet homme dans la tête...j'en avais peur ! j'en avais envie! C'était un homme impressionnant, je n'avais jamais vu ni touché un tel homme. Professeur de sport...et responsable de l'antenne locale du club régional d'haltérophilie avant qu'il parte en voyage.

un peu ce style là !
Le matin nous nous sommes retrouvés au petit déjeuner avec ma mère, puis ma mère est partie au magasin ! je me retrouvais seule avec lui.C'est lui qui a rompu le silence, Je crois qu'il faut que nous bavardions tous les deux ! oui c'est vrai, je suis troublée par cette situation. Rassures toi ceci restera entre nous, je te le promets.
il m'a fait venir à ses côtés sur le canapé du salon et il m'a interrogée, gentiment, il voulais savoir depuis quand je vivais cela, si j'étais forcée,si j'aimais ou si au contraire j'étais mal dans ma peau, si j'avais une idée du nombre de gars qui se servaient de mon corps.
Je lui ai tout expliqué depuis le début, je me suis rapprochée de lui,il m'a caressée tendrement, je me détendais, je me sentais même bien. Je n'avais jamais pu exprimer ce que je ressentais à vivre celà. et là tout d'un coup j'ai dirigé ma main vers son short et j'ai touché son sexe qui a durci trés vite et trés fort, je l'ai sorti, l'ai masturbé un moment, lui se laissait faire sans rien dire, puis je me suis penchée sur lui et comme la veille j'ai pris son gland dans ma bouche, pas complétement ...je ne pouvais pas.
et c'est lui qui a rompu de nouveau le silence: tu n'as plus peur de moi ? tu es une petite salope mais j'aime! je vais jouir ma chérie , veux tu me boire ? ou que je jouisse contre ton petit trou pour te sodomiser ? je te l'ai promis !
vous allez me déchirer , je n'ai jamais reçu un sexe comme le vôtre!
si tu vas l'avoir, je mettrai le temps qu'il faut mais ce matin je jouirai au fond de ton anus !! décides toi, je vais cracher ! je veux voir boire là tout de suite, aprés on verra ! il s'est libéré, avec force et m'a donné , comme la veille, plusieurs rasades copieuses, un sperme épais que j'avais du mal à avaler, mais j'y suis arrivé !!! Il m'a remercié et m'a encore dit qu'il n'avait jamais vu une fille de mon age aimer autant cela ! j'ai continué à le caresser, comme affectueusement, ma peur s'estompait peu à peu. j'étais bien...
Il n'avait pas pezrdu son idée ! moi non plus d'ailleurs je savais que ça allait arriver. sur la table du déjeuner le beurrier était resté, le beurre était mou, je lui ai ramené en lui demandant " ça ira avec ça ? " le visage grave il m'a dit oui, bien sur...tu en a envie ? vraiment ? tu vas souffrir tu sais...car je n'ai pas pu forcer ta bouche mais là ...rien ne m'arrêtera ! je suis prête, j'ai envie de vous sentir en moi, tant y sont déjà passés que vous avez ce droit aussi. Même si tu souffres? oui et même si je vous demande d'arrêter...allez au bout de votre plaisir.
Il m'a fait mettre à genoux, mes fesses face à lui, puis il a pris du beurre sur ses doigts et m'a badigeonné l'anus doucement mais avec fermeté, j'ai senti un doigt rentrer, puis deux, puis au troisième il me dit " tu es rodée ma chérie! tu as déjà 3 doigts et pas des petits...c'est bien, il a été visité déjà ce petit trou, mais ce que je vais te mettre...tu ne l'as jamais eu !
Et j'ai senti son sexe contre mon anus, il essayait de rentrer avec fermeté mais je m'étais crispée...un réflexe de défense? mais il poussait toujours et il pénétrait insensiblement, avec quelques à-coups il rentrait de plus en plus, il a pincé mon clitoris sous mon ventre et j'ai lâché prise, mon anus s'est ouvert sans effort et j'ai senti sous la pression...le "monstre" rentrer trés loin. J'ai cru qu'il me déchirait en deux...et il a commencé à bouger dans mon corps, de longs mouvements. je prenais conscience de la longueur qui navigait en moi quand je sentais ses poils contre mes fesses. Il m'avait ouverte à la taille de son sexe !! je n'y croyais pas...je sentais cette énorme présence mais sans avoir trop mal. Il m'a retournée, toujours en moi, s'est allongé sur le dos et moi sur lui...et il m'a dit de me mouvoir moi, pour le faire cracher son jus dans mon boyau. ( des expressions un peu rustres parfois ).
Je me suis affalée sur son torse pour profiter de cette présence dans mon corps, heureuse  et fière de vivre cela.
Il est resté en moi trés longtemps avant de jouir en me traitant de petite putain. " tu es une putain ma chérie, les hommes vont se régaler avec toi, as tu conscience de ce que tu es ? "
Je lui ai répondu que je me sentais poussée vers les hommes et que je voulais qu'ils se servent de moi pour leur plaisir qui devenait le mien. Je me faisais peur de me découvrir si soumise, si attirée par les hommes murs.
Je l'ai remercié de m'avoir fait connaitre ce grand moment de bonheur. Lui aussi m'a remercié, puis il m'a demandé s'il était vrai que j'étais encore vierge. A quoi j'ai répondu " oui je suis encore vierge car je veux que cette virginité soit pour un grand moment ! je veux un souvenir inoubliable !
Il s'est contenté de cette réponse, m'a embrassée tendrement et est allé se doucher ! J'ai fait de même avec lui et je l'ai savonné moi même, comme un jeu. la journée s'est terminée tranquilement. Mais un grand trouble m'envahissait, et je sentais encore en moi sa présence, la douleur commençait seulement. Mais je ne regrettais rien. 

 

Mar 11 aoû 2009 10 commentaires
qu'il est bon de se souvenir de ces moments et tu les racontent telment bien

bises coquines
jean-luc - le 11/08/2009 à 14h54
bonjour simone

vite la suite super ta vie
lolodemartigues - le 11/08/2009 à 17h54
Il y a une chose que je me demande : tes propriétaires avaient l'air de t'utiliser tous les jours et pendant un certain temps (et ils étaient déjà nombreux apparemment). Aujourd'hui tu peux t'y consacrer pleinement et sans te cacher mais à l'époque, entre tes parents et l'école, où trouvais-tu le temps de faire ce à quoi tu sers ? Aussi, tes frères continuaient-ils à t'utilser et t'ont-ils enculée comme il se doit ?

Très belle photo au passage, elle te représente très bien (vide-couilles et fière de l'être) <3
Abe - le 11/08/2009 à 20h56
Bonjour Simone,

Belle suite à ton récit, tu sais nous faire attendre. Autrement je te propose de suivre la dernière nuit d'avilissement de ma Chienne et pute soumise Sabrina http://salope35ans.over-blog.com/
J'aimerai qu'elle et toi puissier communiquer pour comparer vos expériences et voir en quoi je pourrais encore la faire progresser ou même comment toi tu pourrais encore progresser, si ton Maître est d'accord biensur


Nous attendons la suite avec impatience
Igor - le 14/08/2009 à 09h45
Désolé pour le terme, je me suis un peu emporté. Merci de ces réponses en tout cas !
Abe - le 14/08/2009 à 14h21
Simone,

Tu as du lire mon précédent commentaire.

Puis-je espérer que tu puisses y répondre?

Bises
Maître IGOR
Igor - le 14/08/2009 à 14h34
Ah Simone
Une bonne suite comme nous les aimons

J'espères qu'il t'a bien sodomisé à fond,  normal pour une future pute.

Vivement la suite
Igor - le 14/08/2009 à 16h28

Bonjour simone,
vraiment sublime ton blog et très bien écrit, vivement la suite

bisous
laurent

lolodemartigues - le 14/08/2009 à 17h30

johanna etait accroupie sur le bidet, elle se lavais les partie intime quand elle vit passer devant son visage La belle bite bien visqueuese
de son homme......

clara - le 04/05/2011 à 08h36

Mon beau-père

Je m’appelle Nadia. J’ai 26 ans. En principe, je me considère comme très sensible aux principes moraux et même si l’on s’est moqué des jeunes filles musulmanes pratiquantes, j’ai gardé un très bon souvenir de ces années-là. Mais j’ai craqué.

Il s’appelle « S ». C’est le père de mon mari Karim (lailatvx sur le net). Il a toujours été adorable et j’aimais le fréquenter (nous habitons le même quartier à Rabat). Mais un jour, il m’a invitée à me promener avec lui dans un parc aux alentours de notre quartier. J’ai accepté en toute innocence. Quand il a commencé à me faire la cour, je l’ai tout de suite repoussé.

On s’est revu chez lui, en famille. J’étais tendue, mal à l’aise. Mais lui semblait si heureux de me revoir. Il me serrait contre lui, m’embrassait dans le cou, les cheveux, ne cessait de me dire qu’il me trouvait belle, qu’il aimait particulièrement ma robe, de me caresser les jambes ou les fesses dès que les autres membres de la famille avaient le dos tourné. Et bien que je le repousse à chaque fois, j’adorais réellement ce qu’il faisait et je n’hésitais pas à me mettre sur son passage quand l’occasion le permettait.

Finalement, quelques jours plus tard, alors que mon mari était en déplacement à Casablanca, il était venu chez moi très tôt le matin. Nous nous sommes embrassés. Comme j’ai mis une jolie nuisette rose pour lui, il m’a regardée en me félicitant de ma taille, sa main en dessous me caressant les fesses sous le slip.

Arrivés dans la chambre à coucher, j’ai enlevé mes chaussures et me suis assise en tailleur sur le lit où il est venu s’allonger à côté de moi. On s’est embrassés de nouveau, nous caressant mutuellement, nous déshabillant aussi. Le tout dans un bonheur ponctué par nos rires partagés. Et quand le moment du plaisir est venu, j’ai ouvert mes cuisses pour lui qui s’est allongé sur moi, son sexe contre ma vulve.

Il s’est introduit profondément et m’a fait l’amour avec enthousiasme tandis que, de mes bras, je le serrais contre moi, ma bouche caressant son oreille, sa joue. Il a joui, son sexe en moi. Je me souviens m’être endormie, ma tête sur son épaule et c’est uniquement la sensation de son zob qui a commencé à me réveiller.

Comme je n’ai jamais pratiqué la sodomie, j’ai essayé de l’arrêter, mais il continuait, et peu à peu, il fut entièrement en moi. Alors, je me suis décidée et je me suis mise sur le ventre. Lui s’est allongé de tout son poids sur mon dos et a commencé à me sodomiser doucement, profondément avant d’éjaculer dans mon anus. Quand nous sommes sortis de la chambre, il était presque 14h.

A la suite de cette matinée d’amour, ça a été très dur tant je m’en voulais énormément, je n’arrivais pas à me pardonner, j’avais tellement honte de moi. En plus, il y eut cette sodomie. Tout cela était si sale, si pervers pour moi…En même temps, je me sentais heureuse. Je riais tout le temps et me suis même fait rappeler à l’ordre par mon mari qui m’a demandé pourquoi j’étais si « exubérante ».

Le reste de sa famille d’ailleurs l’a aussi remarqué et j’ai vu dans leurs yeux que cela confirmait pour eux « mes spécificités ». Mon beau-père lui ne cessait de m’approuver, de me sourire, de me féliciter. Il semblait être devenu fou de moi.

Il s’asseyait où je m’asseyais, me rejoignait quand j’étais debout. Ses mains me caressaient tout le temps, mon dos, mes hanches. Ses deux bras m’enserraient par derrière et il m’embrassait dans le cou, les cheveux. Quant à mes jupes, elles se soulevaient, se retroussaient à son passage. Finalement, un bel après midi de dimanche, je me suis décidée et je suis allée le rejoindre dans l’ancienne cuisine qui dessert la cave alors qu’il y rangeait des affaires.
Nous nous sommes regardés en silence puis en souriant, il m’a caressé le visage, les cheveux. Et sans hésiter, il a retroussé ma jupe pour masser mes fesses et ma vulve au travers le slip. Je lui caressais son visage à mon tour. Et mon ventre picotait de plus en plus. Ma petite culotte, elle, était sur mes cuisses quand un des mes petits-neveux l’a appelé en haut des escaliers. J’ai voulu la remettre mais lui l’a enlevée et l’a mise dans sa poche. Et durant le reste de l’après midi, il me regardait.

Finalement, vers la fin de l’après midi, en début de soirée, il est sorti dans le jardin. J’ai commencé par rester avec les autres puis, au bout d’un moment, alors qu’ils ont commencé à parler d’un héritage, en cours de partage, je suis partie. Ce qu’ils ont trouvé naturel, voire obligatoire, car la discussion ne me concernait qu’au travers de mon mari. C’est-à-dire pas du tout.

Je l’ai donc rejoint, un peu fâchée tout de même, de m’être fait ainsi renvoyer. Je lui en ai parlé et il m’a serrée par la taille tout en marchant avec moi, me consolant par des paroles douces. Alors, j’ai eu envie de son amour. Je me suis tournée vers lui et je l’ai embrassé, glissant sa main sous ma jupe, contre mon sexe nu. Nous nous sommes caressés l’un et l’autre, nos vêtements mutuellement retroussés, abaissés. J’avais son pénis dans ma main. C’était dur, lisse, chaud et je le masturbais.

Quand il m’a retournée complètement, contre le petit muret du jardin, j’étais tellement excitée qu’il est entré en moi sans aucune difficulté car ma fente était parfaitement lubrifiée. Il s’est penché en avant et, d’un bras ceinturant ma hanche, il me serrait contre lui et a commencé à aller et venir dans mon vagin. Et ce fut merveilleux, merveilleux. J’avais si chaud, mon ventre était si lourd, si contracté. Presque douloureux de plaisir. Puis l’orgasme est venu, par vagues douces et furieuses à la fois. Une première, puis une seconde, puis une troisième encore plus intense, qui me casse en deux, met le feu au creux de mes reins.

Il se retire et follement amoureuse, je me retourne et l’embrasse, l’embrasse et l’embrasse encore. Je riais mais en même temps, j’avais les larmes aux yeux.

Jusqu’alors, je croyais que j’étais frigide et je n’arrivais pas à ressentir autre chose qu’à peine un léger frisson. Et puis maintenant que je fais l’amour avec lui, je me sens vraiment riche, heureuse. Lui aussi semblait enthousiaste et nous nous sommes embrassés partout, le front, la bouche, les joues. Mais il fallut rentrer pour ne pas donner des soupçons au reste de la famille. Ce fut à tort. Ils ne semblaient pas porter attention à nous. Je me suis assise près de mon mari Karim, mon vagin encore frissonnant du passage du pénis de son père. Aussi quand, dans la cuisine où je me suis réfugiée, j’ai senti de nouveau ce sexe complètement en érection s’appuyer contre mes fesses, j’ai eu une nouvelle montée d’excitation.

Ce qu’il a semblé deviner av

lailatvx - le 11/08/2013 à 04h11